Un accès bancaire
égal pour tous
Un accès bancaire
égal pour tous.
Ma banque, un droit vous accompagne.
Nos missions :
4 axes principaux
Promouvoir
L’accès aux services bancaires dans des conditions d’égalité, pour tous les usagers, ainsi que les politiques ou les actions visant à garantir les droits des citoyens en tant qu’utilisateurs du système bancaire.
Améliorer
La transparence des relations entre les banques et les usagers des services bancaires.
Informer & Interpeller
Les autorités financières, bancaires et politiques, aux niveaux belge et européen, quant au respect des droits fondamentaux des usagers et aux enjeux de l’accès aux services bancaires et de leur maintien.
Agir
Tant en nos qualité et intérêt propres qu’en tant que représentante légale d’autres personnes, en introduisant des procédures, notamment judiciaires, visant à garantir l’accès aux services bancaires et à protéger les droits et libertés des individus en tant qu’utilisateurs de ces services.
L’égalité d’accès aux services bancaires
Un enjeu crucial
dans notre société contemporaine
A ces jours, vivre sans compte bancaire est impossible. L’ASBL Ma banque, un droit entend faire connaitre et reconnaitre l’importance des services bancaires et favoriser l’accès à ces services dans le respect des droits fondamentaux et sans discrimination.
L’accès à des services bancaires est indispensable à l’exercice normal de nombreuses activités de base de la vie quotidienne : perception d’indemnités, de salaires, paiements divers, de nature privée ou professionnelle, voire publique (taxes ou impôts). Or, de plus en plus d’usagers de services bancaires sont confrontés à des ruptures unilatérales de leur relation bancaire de la part d’établissements belges ou à un refus d’accès aux services bancaires en Belgique. Les personnes concernées se voient ainsi entravées dans l’exercice de leurs droits fondamentaux, qu’il s’agisse des droits économiques ou sociaux ou du droit à la vie privée et familiale.
Les établissements bancaires qui procèdent à ces ruptures unilatérales invoquent les contraintes toujours croissantes que leur impose la réglementation en matière de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme; combat légitime et nécessaire que nous soutenons sans réserve..
Mais, dans la réalité, celles et ceux qui se retrouvent exclus des services bancaires sont rarement des terroristes ou des criminels. Dans de très nombreux cas, ils ou elles ont pour seul tort de présenter un lien (de résidence, de nationalité ou d’activités économiques par exemple) avec un pays ou une région considérée a priori comme suspecte par la banque, qui préfère alors se défaire d’un client ou le refuser : c’est ce qu’on appelle les politiques de derisking. Le hic : la personne concernée n’a aucun moyen de faire valoir sa bonne foi, ni de démontrer l’absence totale d’activités illégales ou même suspectes dans son chef. Sous couvert de liberté contractuelle pure et dure, et donc sans la moindre explication, elle est invitée à aller voir ailleurs.
Interpellés par des victimes de ces pratiques, les fondateurs de l’ASBL ont constaté que ces ruptures interviennent fréquemment en raison d’un lien avec un pays d’Afrique ce qui, au-delà du caractère injustifié de cette politique au regard des risques évoqués, la rend également potentiellement discriminatoire.
Ces pratiques entravent en outre sérieusement le développement des relations économiques de la Belgique avec le continent africain, ceci alors même que les relations diplomatiques s’intensifient, ce qui est incontestablement dommageable pour les autorités et les entreprises belges.
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